Du mal à rattraper les cours, un manque de confiance en soi… Il
suffit d’un rien pour être tenté de frauder à un examen mais l’erreur
pourrait être fatale !
Tout faux !
Pour certains, cela se fera avec des techniques dites « à
l’ancienne », pour d’autres cela passera par l’utilisation de son
Smartphone, mais dans tous les cas la fraude aux examens vous coûtera sûrement plus qu’elle ne vous rapportera. La loi prévoit une échelle de sanctions
pour tout élève pris la main dans le sac : l’avertissement, le
blâme, l’exclusion provisoire ou définitive de votre
établissement, l’exclusion provisoire ou définitive de tous les
établissements publics de tous les établissements publics d’enseignement
supérieur.
En fonction de la fraude, la section disciplinaire de l’université
jugera de la sanction à appliquer. Celle-ci étudiera plus
particulièrement le contexte de la fraude (seul, en groupe, la manière
adoptée, etc.) et la situation de l’étudiant. Sur ce dernier point, la
commission sera par exemple plus indulgente avec un élève mis sous
pression par un petit boulot chronophage qui empiète sur ses
révisions, même si elle n’excusera en rien la faute commise. En
revanche, le comité disciplinaire sera plus sévère pour des fraudes
organisées ou pour des fraudes informatiques.
Parmi les fraudes les plus souvent constatées, on retrouve
l’utilisation de documents ou de matériels non autorisés, la
communication d’informations entre candidats, la substitution de copie
ou même plus fort, la substitution d’un candidat par un autre
candidat. Se faire passer pour un autre ? Quelle mauvaise idée ! Ce cas
peut être sanctionné de 9 000€ d’amende pour chacun des
complices et jusqu’à 3 ans d’emprisonnement. En tout cas, le
gouvernement est actif sur le sujet et prépare une nouvelle offensive
contre la fraude avec la prise de mesures spécifiquement contre les
nouvelles technologies !
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